Baïkal-Amour
Dans l’autre transsibérien.
Cinq mille kilomètres en train, du cœur du continent sibérien jusqu’aux rives du Pacifique. Cinq mille kilomètres le long de la Grande ligne Baïkal-Amour, l’autre chemin de fer transsibérien, et au-delà du détroit de Tartarie jusqu’à l’île de Sakhaline et au souvenir de Tchékhov, qui y alla visiter le bagne en 1890.
Des villes de pionniers à demi abandonnées dans l’immensité, des vies si humaines qui ne savent plus où elles vont, la mémoire enfouie mais ineffaçable des centaines de milliers de déportés qui construisirent cette ligne et ces villes au prix de leur vie, la grandeur et le malheur, la mélancolie russes…
Il y a tout cela dans ce livre que traverse pourtant, né de l’espace sans bornes, un sentiment de liberté : « Tout fuit, tout glisse, on se dit qu’on est bien ici, loin de chez soi, libre provisoirement de toute attache, et que c’est pour ça qu’on voyage. »
Prix Marc Orlan 2017
978237502-0128-F
- Parution : janvier 2017
- Genre : Récit
- Format : 13 x 21 cm
- Thématique : Voyage
- Nombre de pages : 192
- ISBN : 978237502-0128
- La presse en parle
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« Passager du BAM, Olivier Rolin reconstitue dans cet envoûtant récit l'histoire de cette ligne à jamais associée à la déportation. »
Julien Bisson, LIRE« Ce qui en Russie aimante Olivier Rolin, c’est la conjonction entre l’espace incommensurable et l’empreinte poignante qu’y a laissé l’Histoire. »
Nathalie Crom, TÉLÉRAMA« En Albert Londres moderne, l’écrivain-journaliste cherche, enquête, interroge pour raconter toutes ces insondables Russies qui au fond ne font qu’une. »
LES ÉCHOS WEEK-END« Olivier Rolin s'est fixé une enquête ambitieuse : les 4 300 kilomètres de la Grande ligne Baïkal-Amour. »
Elisabeth Babillé, LE FIGARO MAGAZINE« Traversée de l'immensité sauvage, rêveries face à cet océan d'arbres qu'est la taïga, ses mélèzes, ses bouleaux. »
Marie Chaudey, LA VIE
