« Maurice Baquet, prince des fantaisistes,
le moins sérieux des musiciens et le plus joyeux des montagnards. »
Sylvain Tesson, Le Figaro, 2012.
Résumé
Un jour, le petit Maurice Baquet a baptisé son violoncelle : Cérébos, car c’était un violon-sel. Il n’avait pas dix ans et avait déjà cessé depuis longtemps de se prendre au sérieux. Puis, il s’est multiplié: il a fait de l’agitprop avec le groupe Octobre des frères Prévert, il a été chanteur d’opérette, acteur de cinéma, un peu champion de ski et passionnément alpiniste.
Un jour, "Momo" devenu grand a rencontré Robert Doisneau, qui lui a donné des ailes. Car un violoncelle, ça prend deux ailes. Pour rendre hommage à l’insaisissable et multiple Maurice Baquet, Hervé Bodeau a conçu un double portrait chinois, assemblant des mots et des images comme les pièces d’un puzzle. De deux puzzles : un livre et un album de photographies rassemblés dans ce coffret.
Préface du cinéaste Nicolas Philibert
Extrait
Vidéo
Vidéo de la soirée Rencontre du 25 février 2017 à l'Espace Guérin.La presse en parle
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Télérama« Un violoncelliste virtuose, un skieur à l'impressionnante témérité » |
Février 2017 | Lire l'article PDF |
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Sport & Plein air…suivons son violoncelle et sourions ! |
Décembre 2016 | Lire l'article PDF |